Mode
L'un des quatre ou cinq soumissionnaires pour la chaîne de mode en faillite e5 Mode est l'entrepreneur hollandais Lex Hes, connu pour son passé houleux notamment chez Charles Vögele et Witteveen. Les syndicats tirent la sonnette d'alarme.
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Finalement, la chaîne de magasins Cameleon est sauvée : le détaillant en faillite redémarre sous l’impulsion de la direction et du personnel. Les curateurs avaient initialement rejeté l'offre, jugée insuffisante.
Neuf candidats repreneurs se sont manifestés pour e5 Mode, l’enseigne de prêt-à-porter en graves difficultés. Parmi eux figurent JBC, ZEB et également le propriétaire actuel, Frédéric Helderweirt.
Les curateurs ont refusé la proposition de rachat du déstockeur Cameleon auquel les employés voulaient coopérer Ils demandent un prix plus de deux fois plus élevé.
FNG veut éviter la faillite et relancer sa société suédoise d’e-commerce Ellos Group. « Sans poursuite des activités, il y a un risque de destruction de la valeur », a déclaré le CEO Paul Lembrechts.
La directrice générale, Pascale Switten, veut reprendre Cameleon, en faillite, avec deux autres entrepreneurs. Petite particularité du plan : le personnel pourrait également participer.
La chaîne de mode e5 Mode obtient la protection contre ses créanciers pour la deuxième fois cette année. L’entreprise a jusqu’à la fin du mois de janvier pour redémarrer, ce qui entraînera potentiellement la fermeture de plusieurs magasins.
CKS, qui faisait auparavant partie de FNG, s’apprête à prendre un nouveau départ sous l’égide de la société mère de JBC, Claes Retail Group (CRG). La marque de mode veut compter deux fois plus de points de vente l’année prochaine et nourrit déjà des ambitions internationales.
La marque de mode Sonia Rykiel renaît de ses cendres : après la faillite l'année dernière, deux cofondateurs de Showroomprivé s’engagent dans une relance en ligne. De nouveaux magasins physiques suivront également.
Général
Plus rassemblés, plus clairs et mise en avant de la catégorie des produits d’entretien : voilà le nouveau visage des 36 magasins Wibra qui rouvrent leurs portes cette semaine en Belgique. Un rôle clé est attribué à la « marque culte » Dasty, et le détaillant a également des projets en ligne.
La reprise de Wibra en Belgique est déjà réglé, à peine un jour après la faillite. La direction belge a reçu le feu vert des curateurs pour ses plans de redémarrage avec 36 magasins et 183 employés. Pour les autres filiales et employés, le rideau tombe.
Wibra Belgique vient de faire aveu de faillite. Néanmoins, la direction compte toujours sur une relance pour une partie des magasins.
L’enseigne Wibra n’est pas (encore) autorisée à relancer l’activité de 36 magasins en Belgique. Le tribunal de l’entreprise a rejeté les plans de réorganisation de la direction. Au bord du dépôt de bilan, la direction ne baisse pas encore les bras.
L’ancienne filiale de FNG, Miss Etam, semble attendre une bouée de sauvetage malgré la reprise. Les factures et les salaires seraient impayés. Les syndicats menacent de déposer le bilan, et une trentaine de magasins sont déjà fermés.
La branche belge de Wibra reste dans l’incertitude : alors que sa décision était attendue aujourd’hui, le tribunal n’a toujours pas statué sur les plans de redémarrage de la direction. Cette décision est pourtant d’une importance vitale.
Des grèves ont à nouveau éclaté chez Wibra en Belgique, avant une concertation avec la direction jeudi. Plusieurs magasins sont restés fermés. Entre-temps, la direction a donné plus de garanties.