Dolce & Gabbana a clôturé son exercice fiscal (au 31 mars) avec un chiffre d’affaires en hausse de 4 % à 1,9 milliard d’euros. La maison de luxe a compensé ses difficultés dans le retail en se concentrant sur une expansion ambitieuse de son activité beauté. La rentabilité, cependant, reste sous forte pression.
Vente en gros en croissance, retail en déclin
Dolce & Gabbana doit sa croissance de chiffre d’affaires principalement à la vente en gros. Cette division, représentant 46 % des revenus, a augmenté de 11 %. Le retail, en revanche, a reculé de 3 %. La demande en déclin en Europe, en Chine et dans d’autres parties de l’Asie a pesé lourdement, tandis que la croissance au Moyen-Orient, en Amérique du Sud et en Afrique du Sud n’a pu que partiellement compenser le déclin.


