Les entreprises alimentaires et les détaillants s’imposent des règles plus strictes en matière de marketing auprès des jeunes : la limite d’âge augmente, l’application dans les écoles et sur les médias sociaux devient plus stricte. Mais l’autorégulation fait également l’objet de critiques.
Rester pertinent
À partir de l’année prochaine, l’industrie alimentaire belge ne ciblera plus la publicité pour les aliments malsains sur les enfants et les jeunes de moins de 16 ans (jusqu’à présent, la limite était de 13 ans), il y aura un périmètre de 150 mètres autour des écoles secondaires (cela était déjà en place pour les écoles primaires) et il y aura également des lignes directrices concrètes pour la publicité sur les médias sociaux et autour de l’utilisation d’influenceurs. Le Jury d’éthique publicitaire (JEP) traitera les plaintes éventuelles.


