La consommation de viande et d’autres protéines animales doit être considérablement réduite à l’échelle mondiale afin d’éviter de nouvelles conséquences désastreuses pour la santé publique et l’environnement, selon le nouveau rapport Eat-Lancet.
Excès de viande et de produits laitiers
Dans une mise à jour récemment publiée de son étude précédente de 2019, la commission internationale Eat-Lancet conclut que les systèmes alimentaires sont responsables d’environ 30 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et constituent ainsi le principal facteur de dépassement des limites planétaires. Même l’abandon complet des combustibles fossiles ne suffirait pas si les habitudes alimentaires ne changeaient pas.


