Fernando Fernandez, le PDG d’Unilever, constate l’existence de « foyers de médiocrité » au sein de l’entreprise et prend des mesures pour y remédier : le fabricant de marques remplace environ un quart de ses deux cents cadres supérieurs cette année.
« Des performances incohérentes »
« Sont-ils assez bons ? Sont-ils au niveau qu’Unilever mérite ? », s’est demandé Fernandez lors de la Barclays Global Consumer Staples Conference à Boston. Le PDG opte clairement pour une ligne dure et une communication toute aussi dure. Selon lui, le leadership d’Unilever devrait « devenir la référence sur le marché ».


