Starbucks va intégrer ses activités chinoises dans une coentreprise, dans laquelle il détiendra une participation de 40 %. Les 60 % restants iront au fonds d’investissement chinois Boyu. L’objectif est de plus que doubler la taille de la branche chinoise, qui passerait de 8 000 établissements actuellement à 20 000 à terme.
Contexte et projets de croissance en Chine
Avec cette scission, le PDG Brian Niccol revient sur l’accord de 2017, par lequel Starbucks avait racheté son partenaire de coentreprise de l’époque afin d’en obtenir le contrôle total. Niccol espère que les connaissances locales de Boyu contribueront à accélérer la croissance en Chine, en particulier dans les petites villes et les nouvelles régions. L’accord valorise la branche à quatre milliards de dollars (3,7 milliards d’euros).


