Quarante entreprises néerlandaises, dont Zeeman et Sissy-Boy, demandent au gouvernement de mettre un terme aux plateformes de mode ultra-rapide telles que Temu et Shein. Elles souhaitent un plan d’action contre les importations déloyales et des campagnes d’information à l’intention des consommateurs.
Suivre l’exemple français ?
Dans une lettre ouverte à l’initiative de MVO Nederland et Thuiswinkel.org, les distributeurs et les magasins de seconde main néerlandais se plaignent non seulement de l’inégalité des conditions de concurrence créée par les plateformes chinoises, mais aussi de l’afflux de montagnes de vêtements inutilisables qui ne sont souvent pas conformes à la législation européenne. Selon la lettre, jusqu’à 95 % des marchandises ne répondent pas aux normes.